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Where is the line with you ?

Where is the line with you ?
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22 février 2009

Présentation !!!

Tantôt absent, tantôt présent !!!

 

Tout dépend de quel côté on se place !!! Dans un lit, dans une vie.

 

Me décrire ? Suis-je à vendre ? Occas’ ou neuf ? Avec ou sans garanties ? Satisfait ou remboursé ? Soldé ? Avec ou sans remises ? Papier cadeau ? Une carte de fidélité ? Des retouches à faire ? Vintage ou fashion ?

 

Théâtreux qui ne supporte plus la comédie de certains.

 

Romantique le dimanche entre trois et cinq heures.

 

Angoissé de faire comme tout le monde.

 

Stressé de la vie monotone.

 

Ne digère pas le mensonge, l’abus de confiance, les avocats, à manger, mes voisins, le bruit ni les pseudo-rigides du bulbe qui ne croient qu’en l’amour parfait d’un rose bonbon conjugué aux frasques dangereuses d’un partenaire banal.

 

Raffole de l’humour à tendance sombre, des atypiques assumés, du monde méditerranéens, du bon goût, de la bonne orthographe, de la femme femme et de l’homme homme, des habitués de la caféine, théine sans tabac.

 

Soit toi-même, et évite de me demander 36 fois la même chose. Mes performances sexuelles ne sont utiles dans un échange amical. Mes performances amoureuses ne sont guère requises pour un échange bestial, faut il encore que la bête soit à la hauteur de mes amours !!!

 

Voilà, comme on dit, emballé, c’est pesé !!! A consommer avant la date limite de saturation.

 

 

 

 

Je dis chut !!!

DOPC !!!

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20 février 2009

DOPC vs ABCD !!!

Il avait donc raison !!! Les choses ont changé. Connaître son identité, savoir de quoi il est fait, ses formes, ses désirs et nos cris, nos chagrins respectifs et tellement faux. S’est-on aimés ? Non !!! S’est-on hais ? Non et oui. On me demande, remarquez qu’on me demande beaucoup de chose, depuis quand je dois justifier tous mes actes, mes gestes, mes paroles ? Visiblement ça en devient un passage presque obligatoire avec moi. On me voit, on demande. Bref, on me demande pourquoi je n’écris plus comme avant ?

 

Veuillez précisez votre question !!! Avant tu écrivais autrement, tu étais plus optimiste, moins cru, plus doux … donc avant j’étais niais et totalement débile, c’est ça que tu es en train de me dire ? Je comprends de plus en plus pourquoi ton amitié n’a été que fausse. Oui, je sais tu vas lire ces mots. Par pitié, ne me demande pas pourquoi !!! Trop, c’est trop comme dirait l’autre, tire sur ma bobinette et c’est la main dans la gueule que tu auras.

 

Mais malheureusement il a raison. Je ne suis plus celui d’avant, ceux qui me suivent depuis maintenant quelques années l’ont bien remarqué. Une chose a changé !!! Mon otage s’est barré !!! Et puis même, je ne parle que de cul, de cul, de cul et encore de cul pour finir sur le cul !!! Certes, j’aime ça mais quand je vois comment certains en parlent, je me dis qu’il me faut encore quelques années avant d’enfoncer directement mon écriture dans le creux du sujet. Le tout sur des giclées de romantisme. Bon, d’accord, je suis le spécialiste du terme romantico-gerbant, déposé !!! Mais voilà, je laisse de nouveau mon otage se pornoniser.

 

Comme vous le savez, il y a eu la Saint Valentin, je n’ai rien contre cette fête, pour moi ce fut un samedi comme les autres. Enfin, non, je n’étais pas seul, ni habillé, ni détendu. Le monde n’est pas parfait. Fêtant dignement mon célibat à regret, la fête !!!  C’est alors que je décide de me remettre en chasse. Bonne chasse, quatre nouvelles proies, différentes les unes des autres. Pour ne nommer personne et respecter un anonymat tellement rêvé, n’est ce pas ? Appelons ABCD !!!

 

A. Le genre de beauté qui se fait une fois tous les dix ans à qui je viens malheureusement de briser les espérances en lui avouant clairement que l’électron libre que je suis n’a pas le désir de s’associer dans l’immédiat. B. Le genre de virilité indépendante qui le rend tellement plus humain et à qui je viens malheureusement de laisser partir en lui avouant que le meurtri que je suis n’a pas le désir de fonder de l’espoir perdu dans l’immédiat. C. Le genre de distance rapprochée à ne vouloir communiquer qu’entre midi et une et à qui je viens malheureusement de fermer la porte en lui avouant que l’homme expansif que je suis n’a pas envie d’être contenu dans une tranche horaire dans l’immédiat. D. Le genre d’atypisme assumé et terriblement charismatique à qui je viens malheureusement de mentir en lui avouant que je suis sans attache affective dans l’immédiat.

 

Pour résumer, pour ne pas être déçu, il vaut mieux ne rien tenter et continuer à rêver. A bientôt un quart de siècle, je sais enfin ce que je veux.

 

Rêver et ne plus me réveiller.

 

 

 

 

Je dis chut !!!

DOPC !!!

11 février 2009

Oui mais !!!

Tu peux répéter, je n’ai pas bien compris !!! Tu veux t’installer chez moi !!! Oui, bien sur, sans aucun problème. Alors là y a la porte et c’est tout ce que tu verras. Au revoir, et surtout adieu. Vivre dans ma vie !!! Oui, bien sur, et sur mes fesses il est tatoué « entrez sans frapper » !!! Et puis, tu ne peux pas, mon mari va rentrer d’une minute à l’autre. Mon mari ? Oui, il me reste juste à le prévenir qu’il ne s’est pas dans quel fourbie il se fourre. Et puis, un de perdus, dix de retrouvés, comme on dit.

 

Te souviens-tu de tous ceux que tu as vu jouir ? D’amour, de sexe, de nerfs ? Moi, non !!! Malheureusement. C’est là qu’on suppose un bug dans l’ordinateur cérébral. En même temps depuis bientôt trois ans, je n’ai que papillonné sur la tige d’un seul homme. Une année que je ne la butine plus. Une année ou mon désert sexuel s’entend très bien avec mon désert affectif. Où les platanes meurent, les uns après les autres de sécheresse, même si il y a eu l’arrosage automatique du SOS Docteur. Et il y a toujours lui. Lui, l’avocat, lui, mes frissons.

 

Je suis comme un gosse débile, comme une jeune fille qui vient d’avoir ses premières règles, la nonne faisant ses prières quotidiennes, une mariée se faisant arracher la jarretière par les dents de son ancien amant, le meilleur ami du jeune marié. En clair, il me fait planer. Mais. Ce mais puant. Ce mais qui gâche tout. Et ce qui gâche tout, la distance. Paris-Lille, c’est pas la mort, mais je ne suis pas un fervent défenseur des relations à distance. Loin des yeux, loin du cœur, loin de l’orgasme. Et l’orgasme, j’y tiens. Mais, une bon mais, celui qui réconforte, mais lui, c’est pas pareil, lui, c’est mon fantasme. Celui qui te fait dresser un chapiteau dés que tu prononces son prénom.

 

Mais, un mais qui a juste le sens du mais, c’est une autre histoire, à vivre surtout. Et pour le moment, je vis ma vie, autrement que dans mes livres d’amour fleur bleue, ceux qui te font voir que quoi qu’il arrive, même si Sharon a surpris John dans le lit de Rebecca avec Mitch, lui-même fraîchement divorcé de Suzan, la sœur jumelle de Louisa, l’ancienne meilleure amie de Kyllie qui a eu une relation tumultueuse avec Brice, le petit demi-frère de John mais pas le John de Sharon. J’ai fermé le bouquin et je l’ai jeté au fond de ma douche. J’ai allumé l’eau. Chaude et j’ai été en ouvrir un autre.

 

Je ne lis que des histoires d’amour et je déteste les vivre. Ou alors, je me mets à l’Arlequin !!! Ou alors je me contente de mes fantasmes les plus absolus, autre que lui. On me propose de me recevoir, il a juste un problème de taille. Il croit quoi ? Que je me déplace aussi facilement pour 5 min de bonheur et encore quand celui-ci est complet ? Et puis, je suis de plus en plus insatisfait, que faire alors, que faire !!!

 

Que faire ?

 

Je retourne chercher mon bouquin, on s’est jamais, si Sharon s’aperçoit que Dylan, son premier amour, ne l’a jamais oublié !!!!

 

 

 

 

Je dis chut !!!

8 février 2009

Amour toujours ???

Ne me dis pas que tu m’aimes si c’est pour regarder derrière mon dos dés que celui-ci est tourné. Ne me dis pas que tu vas m’appeler pour me sortir l’excuse d’un manque de finance alors que tu vides de l’alcool plus vite que ton ombre dans les bars. Ne me dis pas que tu penses à mon corps à chaque instant si c’est pour aller toucher les formes de tes voisins pour voir s’ils sont tous pareils. Ne me dis pas que je suis l’homme de ta vie quand celle-ci tu l’as joue sans penser à ceux qui s’en privent pour toi. Ne me dis pas que tu n’as jamais connu quelqu’un comme moi sachant que tu oublies mon nom dés que la nuit s’achève.

 

On me demande pourquoi je n’écris plus comme avant, sur l’amour, le bel amour, le grand amour, celui qui fait ces idiots papillons, ce mal de ventre qui t’empêche de penser normalement. Etre amoureux, oui, ne plus l’être, c’est mieux. Etre malheureux à cause d’une personne, ce n’est pas grave. Etre malheureux à cause de personne, c’est là que ça fait mal. J’ai beau essayer de comprendre pourquoi en ce moment je n’arrive pas à m’attacher à âme qui vive, j’arrive toujours à la même conclusion. Etre amoureux, ce n’est pas pour moi.

 

Ou alors, c’est l’inverse, je dois être amoureux pour me sentir bien. Bonjour l’angoisse. Me reste-t-il que le sexe alors ? Pour le prince, ça lui réussi plutôt bien. Moi, la seule chose que j’ai pu remarquer, c’est que depuis mon opération, j’arrive moins à ouvrir la bouche. C’est handicapant. Dernièrement, j’ai coché la case « médecin » dans les différents métiers, après l’architecte, l’avocat, le banquier, le boulanger et quelques coiffeurs. Sans oublier un ou deux mannequins. Enfin bref, le docteur, c’est assez sympa. Très saisissant, pénétrant. Enfin bref.

 

Toujours est-il que là, c’est le gouffre. Les femmes, les hommes. Les hommes, les femmes. Les deux ? Non.

 

Amour toujours ? Mes fesses oué !!!

 

 

 

Je dis chut !!!

5 février 2009

5 à 7 !!!

On se rencontre, on se parle et on se baise. Debout, allongé, accroupi, de dos, jambes repliées, à demi fléchies, étendues, sur une jambe, sur le dos, sur le ventre, sur le côté, le droit et le gauche, de trois quart, écarté, en brouette, renversé, face à face, dos à dos, tête bèche, sur le pouce, en poirier. Et on fait tout, tout de suite, la turlute, la pipe royale, celle impériale, qui chatouille la glotte, avec la langue, sans la langue, avec les dents, sans les dents, vorace, timide, expert, débutant, touchant, palpant. La fameuse et non moins réputée pratique, celle de Verlaine et Rimbaud, bien profond, sur le pourtour, je rentre, je sors, aller retour discret, à grand vitesse, saisissant, alternant, assurément, obligé, passionné.

 

On le fait partout, dans le lit, sur les draps, sous la couette, à terre, sur le buffet, le bar, l’évier, la table basse, la table en verre, celle qui gèle les fesses, sur le canapé, marqué suédois, devant la fenêtre, stores ouverts, rideaux fermés, devant la glace, de face, de dos, sur la machine à laver, mode essorage, mode rinçage, dans l’escalier, entre deux portes, dés l’entrée, dans le garage, dans la voiture, à l’arrière, sur le capot, siège rabattu, levier de vitesse dressé, sur le sol de la salle de bain, du salon, de la salle à manger, sur les toilettes, chasse tirée, sur la chaise. On essuie l’appartement. Et l’explosion finale, faciale, buccale, nasale, dans les cheveux, sur la main, sur les joues, dans l’œil, sur le ventre, dans les fesses, au creux des reins, étalés, parsemé, gouttelettes par gouttelettes, un torrent, un tsunami, j’ai plus soif. Le fruité, le salé, l’amer, l’épicé, le poivré, le suspect, le gluant, le liquide, le compact et le dissout. On essuie, on prend une douche, encore, on le remercie, en fermant la porte, on se promet de se revoir, et on cherche un nouveau quatre heures.

 

Et on le trouve, celui qui nous dit merde, qui nous soumet, celui a qui on pense, le matin, le soir, le midi, la nuit, et qui nous empêche de dormir, de se concentrer, d’être sérieux, celui avec qui on retapisse de haut en bas, de bas en haut, de gauche à droite, de droite à gauche, l’appartement à coup de rugissements, intenses, discrets, les voisins sont là, on s’en moque, encore plus fort, encore plus loin, toujours et encore, jamais rassasié, jamais comblé, on ne demande encore plus, toujours plus. Lui rime avec toujours et encore. Et on répète sa chorégraphie, tous les jours, toutes les heures, puis toutes les semaines. On connaît le corps de l’autre, le cœur de l’autre, le fondement de l’autre. Et on finit par s’habituer, savoir où toucher pour faire plaisir, et ça devient toujours la même chose, encore la même pose. Lui rime toujours et encore avec toujours et encore. Avant, c’était dans toutes les positions, assis, version chien de fusil, l’étoile de mer, version active, version passive, la toupie, le service de table, la cuillère, le bol, la soupière, la salière. Et puis, on va au plus vite, la même pose car on sait comment faire jouir, plus vite, encore et toujours plus vite. On fait ca proprement, il ne faut pas mettre de désordre, on reste sous les draps et on jouit vite, c’est un ordre.

 

On finit par prendre rendez-vous pour se retrouver, on invente des scénarios, le gendarme et le voleur, le pompier, au feu !!! au feu !!!, le soumis et le dominateur, l’esclave, la soubrette, le pacha, le violé, contre le mur, dans la rue, et on finit par toujours et encore la même pose, celle qui va vite car après tout, on fait ça pour faire plaisir à l’autre. Nous, on commence par remplacer son visage, c’est une autre personne qu’on baise, on ferme les yeux, plus fort et puis on imagine un autre corps, une autre anatomie, une plus longue, plus large, plus savoureuse, plus juteuse, plus intense et on ouvre les yeux, et c’est lui, celui à qui on a dit, bon on baise ou quoi ? Ben oui, ça fait un mois que nous n’avons rien pratiqué, il serait tant, y a la machine qui s’enraille. Et puis, l’excuse de la migraine devient un leitmotiv, on se couche à des heures différentes, on se parle pour savoir ce que nous allons manger et on rêve de notre vie sexuelle d’autrefois, où notre queue et trou étaient le jeu préféré de mecs en manque et plus la chasse gardée de monsieur qui comble son rôle une fois tous les mois, pour faire croire que.

 

Mais on s’aime, enfin je crois ? On ne se le dit plus que par sms, un JTM qui a une note de passe moi le sel. On déprime, on regarde les autres avec envie, on soupire alors que la voisin gémit. On fait plus aucun effort, le poil bat son plein et on devient sec. La vie de couple n’est plus ce qu’elle était. On était si heureux avant d’être ensemble. On sera si heureux quand on ne sera plus ensemble. On sera perdus quand on comprendra que la routine n’est pas une fatalité mais un passage obligatoire. On me reproche de vouloir que de la passion dans mon couple, je réponds que je préfère la passion à la routine. Alors, on change, du numéro 51 au numéro 52. Et on refait tout depuis le début.

 

On se rencontre, on se parle, on se baise et surtout on se quitte.

 

 

 

 

Je dis chut !!!

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4 février 2009

Histoire de ne rien se dire !!!

_ Allo !!!

_ [c’est lui !!!] Allo …

_ C’est moi !!!

_ [tu crois que je suis devenu amnésique, je connais ta voix !!!] Qui moi ???

_ Et bien moi, XXXXXXX, ton ex !!!

_ [tu es obligé de le rappeler chaque fois ???] Ah !!!

_ Ca va ?

_ [non !!!] Oui …

 

 

_ Et tu ne demandes pas pour moi ?

_ [pour que tu me dises que tout va bien dans ta vie et que maintenant que je n’en fait plus parti, tu respires ce bonheur auquel tu as tant aspiré durant notre relation ??? Alors non, je n’ai pas envie de demander comment tu vas !!!] Si si !!!

_ Alors ?

_ [tu saoules !!!] Et toi ???

_Ca va, ça va, en ce moment je suis assez occupé par le travail, mais sinon ça va !

_ [tout ça pour ça !!! Toute façon, je n’ai jamais fait parti de tes priorités, toujours ton travail, donc je vois pas en quoi ce besoin de changement que tu espérais tant quand on était ensemble, est si différent maintenant !!!] D’accord.

_ Tu deviens quoi alors, depuis tout ce temps ???

_ [une loque humaine, une grosse merde depuis que tu as fait tes valises et que tu es parti, me laissant seul avec cette connasse de conscience. Un tête à tête des plus destructeurs !!! Et toi tu viens avec tes gros sabots me demander comment je vais et ce que je deviens ? Depuis quand ma petite personne te préoccupes tant ?] Oh, comme d’hab., tu sais !!! Toujours le même [en plus minable].

_ Et tu ne demandes pas toujours pas pour moi ?

_ [c’est moi ou tu fais exprès ??? Enfonce le couteau encore plus loin, connard va !!!] …

 

 

_ Non, toujours pas ???

_ [ne me dis rien, dis moi juste que tu es comme d’habitude, que tu n’as pas changé, que tu es toujours ce même crétin qui a trouvé plus judicieux de faire continuer notre vie de couple chacun de son côté, loin l’un de l’autre. Alors, oui, vas y répond moi, achèves moi !!!] Si, et toi ?

_ Tu me manques !!!

_ [] …

 

 

 

_ Tu es toujours là ?

_ [crèves salaud] Oui !

_ Tu ne dis plus rien ?

_ [pourquoi, pourquoi tu me dis ça ? Pourquoi maintenant ? Pourquoi à moi ? Pourquoi tu es parti alors ? Pourquoi merde !!! Pourquoi tu fais ça ? C’est quoi ton jeu ? Tu te prends pour qui ? ] Pourquoi, pourquoi tu me dis ça ? Pourquoi maintenant ? Pourquoi à moi ? Pourquoi tu es parti alors ? Pourquoi merde !!! Pourquoi tu fais ça ? C’est quoi ton jeu ? Tu te prends pour qui ?

_ Je n’ai jamais voulu te faire de mal !!!

_ [non forcément, ce n’est que du bien que tu as fait, à me laisser, seul comme ça, alors oui bien entendu, ce n’est pas du mal, égoïste, salaud !!!] Si tu le dit !!!

_ Je t’aime !!!

_ [tu m’aimes ??? Tu m’aimes toujours ? Il ne fallait pas partir alors. Fallait rester avec moi, et ne pas partir pour aller voir ailleurs, voir si c’était mieux, et là tu viens me dire que tu m’aimes !!! Pourquoi ???] …

 

 

_ Et toi ?

_ [tu veux savoir si je t’aime encore, alors, je vais te répondre, oui je t’aime, oui !!! Je n’ai jamais cessé de t’aimer, du premier jour à jamais !!! Je t’aime et tu m’as fait souffrir !!! Putain, oui je t’aime !!!] Non !!!

 

 

_ Moi je t’aime !!!

_ [je t’aime] C’est trop tard !!!

 

 

 

 

Je dis chut !!!

 

27 janvier 2009

Je t'aime et je t'aime !!!

Y a l’autre en ce moment qui gueule, sur une portée, « il y a je t’aime et je t’aime. Je t’aime trop, je t’aime bien. » et pour une fois, une chanson me laisse perplexe. Je réfléchis et les dommages commencent. Forcément, moi et ma réflexion, c’est une grande histoire et quand on l’alimente encore plus, ça devient problématique. Il y a je t’aime et je t’aime. Il a entièrement raison. J’ai déjà dit je t’aime, heureusement sinon bonjours l’angoisse à prés du quart de siècle. J’ai déjà regretté de l’avoir dit et souvent j’ai réussi à ne pas le dire pour faire plaisir. Je n’aime pas faire plaisir. Du moins, je n’aime plus faire plaisir.

 

L’autre jour, quelqu’un, mort depuis ce jour, m’a gentiment demandé pourquoi je suis si froid avec les hommes téteurs de tiges ? Pourquoi je n’arrivais pas à m’ouvrir ni même à laisser une seconde chance. Les secondes chances ne sont que du réchauffé et je n’aime pas faire semblant alors pourquoi tenter d’imiter une vieille relation qui arrivera quoiqu’il arrive à la même chose. Pourquoi tu ne te laisses pas passer la corde au cou ? Car, je ne suis pas quelqu’un qu’on attache à un piquet. Merde !!!

 

Ma sagesse vient de partir, à savoir mes dents, et durant le dodo forcé, je me suis posé cette question si simple, et si je ne me réveillai pas, ai-je au moins vécu de belles histoires d’amours, furtives ou non. Et soulagement, oui !!! Et angoisse, elles se sont toutes terminées dans les cris et la douleur. Je n’ai jamais su rompre proprement. A un moment, j’ai cru que c’était les autres, et encore les autres. Et puis, il a bien fallu que je me rende compte que ça venait bien des autres. Orgueil.

 

Oui, ça vient de moi.

 

Etre ami avec son ex compagnon, amant, punching ball, est-ce possible ? Je ne pense pas, c’est toujours tendancieux. Il s’est où me toucher, s’il avait trouvé au préalable, pour me faire planer, pour me faire envie, pour me faire jouir. Oh oui !!! Et maintenant nous devons partager une belle amitié, à se confier nos petits secrets. Oh, si tu savais, numéro 37 m’a fait retapisser le mur, version gouttelettes, je n’avais jamais autant eu de frisson, enfin si avec toi (forcément je te parle, je ne voudrai pas te vexer, en fait, avec toi, je n’ai jamais pu repeindre le plafond), mais c’était pas pareil.

 

Il y a je t’aime et je t’aime. Je ne t’aime plus, je t’aime loin. Finalement, pour ne pas rompre, autant de rien commencer. Mais je ne suis pas partisan du « se la mettre derrière l’oreille ». Moi, il faut du contact, silencieux. Et pour un jour, dire, je t’aime mais chut ne le dis à personne.

 

 

 

Je dis chut !!!

22 janvier 2009

Retour vers le futur !!!

Il y a « retour vers le futur » !!! Woooo !!! Le film du siècle tout comme « les feux de l’amour », le soap le plus crédible du siècle !!! Et pour nous ? Quel avenir ? Quel passé ? Comment imaginez-vous votre avenir ???

 

Moi, riche, beau, célèbre, adulé de tous, marié ou pacsé ou en couple ou avec quelqu’un ou du moins, rarement seul dans un lit !!! Deux, non trois et puis non, deux enfants adoptés ou prêtés ou perdus ou pire, de descendance madonienne !!! J’ai entendu dire que puisqu’on est écrivains, nous pouvons inventer des mots. Je ne suis pas écrivain, mais j’en invente quand même. Oui, donc, mon parfait cauchemar !!! Ressembler à une vraie famille heureuse que tout le monde envie ou presque !!!

 

Et imaginons, comme Cendrillon d’Eric Reinhardt, si je n’avais pas connu telles ou telles personnes ou telles ou telles décisions, ma vie aurait pu être différente ? My god, oui et heureusement, sinon bonjour l’angoisse !!! Si je n’avais pas quitté cette femme que nous allons appeler, femme !!! Si je n’avais pas embrassé cet homme que nous allons appeler, connard, mon premier connard !!! Si je n’avais tout simplement pas quitter l’architecture pour les dieux orientaux !!! My god, quelle vie ???

 

Finalement, oui, je suis bien content de ma vie !!! Elle est comme elle est, j’ai failli crever, résultat je profite de ma vie, loin des autres !!! J’ai failli tomber amoureux, un jour, résultat, je bénis tous les jours ce dieu nuisible d’avoir oublié mon cœur !!! Bref, n’en parlons plus !!! Imaginons, j’aurai inventé l’expression, c’est la marmite qui dit au chaudron que son cul est noir !!! Mon cul est comme il est aussi, lui !!!

 

La vie est belle. Tout dépend des jours !!!

 

 

Je dis chut !!!

21 janvier 2009

Aïe, ça fait mal !!!

Aïe !!! Ca fait mal, ça fait très mal, ça fait trop mal !!! Le téléfilm de M6 à 13h45 !!! Ce film qui te raconte une histoire d’amour à la mord moi le nœud !!! Ce film que tu regardes et dont tu inventes une histoire encore plus ridicule que le film pour te donner cette fameuse excuse d’avoir attisé ta curiosité jusqu’au bout !!! Jusqu’au bout du mouchoir, car forcément tu pleures, façon de parler, de voir ce que n’est qu’un film. Forcément, dans la vraie vie, personne ne vient te dire qu’il avait promis de t’aimer jusqu’à son dernier souffle. Crève et fous-moi la paix !!!

 

Crève et fous-moi la paix !!! Et pendant ce temps là, l’amour est dans le pré et la haine dans le cœur. J’ai rendu la liberté à ma loutre !!! J’ai un problème de sexualité !!! Cette année, ma bonne résolution, ne pas vivre une folle histoire d’amour !!! Rester dans ma conviction qu’être amoureux, c’est bien mais pas pour moi. Que d’être amoureux, c’est la meilleure façon d’avoir mal !!! Alors, c’est dit, c’est fait, cette année, t’approches de mon cœur, je te castre !!!

 

Y a l’amour à distance, par procuration, par dépit, par obligation, par passion, par hasard !!! Et surtout parce qu’on m’a dit, toi, y a que quand tu es amoureux que tu es agréable !!! Je ne dis rien mais j’en pense pas moins et je panse !!! Non, il n’y a pas de faute !!! La faute, finalement ça été lui, et lui, et lui, et oui tiens, lui !!! Cette année, je veux la passer au lit, seul ou non, mais juste une nuit et après tu fais tes valises et tu te casses à l’autre bout de moi !!! Non, je ne suis pas un révolté, ni un anti-amour !!! J’aime l’amour, c’est lui qui ne m’aime pas !!! Lui ou elle.

 

Et pendant que je parle, écris, y a le second film romantico-gerbant à souhait qui se lance. Je ne suis pas qu’un sexe sur pattes, j’ai mon cerveau qui sert aussi sans oublier mes poings pour te faire comprendre, au cas où, que si tu touches à mon cœur, tu le regretteras, tu vas souffrir et malheureusement pour toi, je n’y peux rien. Assumes bordel !!! Toute façon, j’ai quelqu’un en tête, sauf que je ne sais qui c’est !!! Là est tout le problème !!! Je serai amoureux toute ma vie mais jamais de la même personne !!! Merci et surtout claques bien la porte en partant, je n’aime pas les courants d’air !!!

 

N’importe où, c’est mieux qu’ici !!! Tout dépend du où, et du ici !!! Maintenant, voilà, le mal est fait. S’il existe des shampoings à PH neutre alors l’amour aussi !!! Et là, je rêve d’une douce barque sur un joli ruisseau !!! Actuellement suis sur une planche de surf en plein Niagara, l’amour à la plage, encore des promesses !!! Et cette odeur de purée dans les escaliers, j’ai faim. Il existe différents livres de la collection « pour le nuls » !!!

 

A quand, l’amour pour les nuls !!!

 

 

Je dis chut !!!

9 janvier 2009

Homme malade !!! Homme mourant !!!

Je suis malade. Je suis un homme. Je suis un téteur de tiges. Je vais mourir !!!

 

Selon Confucius ou un autre abruti de je ne sais quel siècle, quand la rivière est rouge, emprunte le petit chemin boueux !!!  Les femmes, elles ont de la chance !!! Nous, hommes de confiance et obsédés que nous sommes, quand on est smectaqué, ça sert à rien d’y insister, si c’est pour avoir une descende de digestion rapide !!!  Toute façon, en ce moment, je n’ai pas envie de jouer à – Touche moi là et tu verras !!!

 

Dans le genre de famille de bras cassés, j’aime me retrouver dans une salle d’attente, un jeu s’opère, celui qui est le plus à plaindre : Moi, j’ai fait un pneumothorax, et je vais me faire opérer des dents de sagesse et des amygdales. Elle, elle a perdu un fils, parti dire bonjour à grand manitou, son second fils a été dans le coma pendant trois semaines suite à une chute de 6m, il se fait retirer les broches au mois de Février, son mari a été choqué et développe des maladies avec des protubérances sur le corps, quand à elle, elle a été opéré du bras et a été hospitalisée durant trois semaine également, pour une gastro foudroyante !!!

 

Ok, elle a gagné !!!

 

Et pendant ce temps là, y en a une qui accouche vite fait bien fait, et d’autres qui sont en garde à vue car il poignarde tous ceux qui voient. J’aime la France, car il y a toujours quelque chose à dire dessus. Toute façon, maintenant, soit tu es chômeur, soit tu es couilloné !!! Et quand on s’attaque à mes valseuses, je veux avoir un droit de vote sur la dentition !!! T’inquiète ma loutre, les tiennes sont parfaites !!!

 

J’y pense, ce soir, y a les comédies musicales !!! Je confirme, je vais mourir et en plus sous un air de musique, enfin c’est un terme générique. Toute façon, je regrette mon enfance, quand je ne connaissais pas les joies des parties fines avec tous organes possibles !!! Mais bon, ma loutre, il l’aime ma « joie de vivre » !!!

 

Non, pas ce soir, j’ai la migraine !!! Et c’est vrai !!!

 

 

 

Je dis chut !!!

 

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